Depuis la nuit des temps, l’homme a soutiré des ressources nécessaires à la vie de son environnement, en l’occurrence du milieu naturel dans lequel il vit. La nature a donc toujours fait figure d’un immense réservoir dans lequel on pouvait puiser indéfiniment et sans précaution. A travers les âges l’homme a marqué la nature en la travaillant, la transformant, la façonnant, jusqu’à l’épuiser : les réserves mondiales de pétrole se tariront au siècle prochain et déjà de nombreuses mines de fer et de charbon ferment… Aujourd’hui, la Fereepas est héritière de l’écologie humaine avec une définition moins restrictive de l’écologie. La Fereepas est chargée d’améliorer les rapports entre les personnes et leur environnement. La préservation de l’environnement a cessé d’être une simple revendication pour devenir partie intégrante d’une nouvelle conscience de l’homme dans son milieu. C’est en inculquant le respect de la nature à nos enfants que l’environnement deviendra viable. Aussi est-ce là une priorité pour la Fereepas. Cette association de loi locale 1908 intervient à plusieurs niveaux :
I/ Petits rappels
Les pesticides ou produits phytosanitaires (herbicides, insecticides, fongicides…), sont des biocides. C'est-à-dire des substances chimiques destinées à détruire, stopper ou ralentir le développement de maladies, d’organismes vivants jugés nuisibles ou pouvant ralentir ou nuire à la production agricole, maraîchère, arboricole et viticole.
Malheureusement, l’utilisation de ces produits n’a pas que des effets désirables.
Les additifs et les adjuvants utilisés renforcent, certes, l’efficacité des produits, mais provoquent des problèmes patents sur l’équilibre organique des sols, sur la qualité de l’air, dans la composition de l’eau, en particulier des rivières, des fleuves et des nappes phréatiques.
De même que beaucoup d’utilisateurs de ces produits se sont retrouvés atteints de troubles, de maladies et d’invalidité.
Malheureusement, les pesticides sont aussi utilisés dans le monde non agricole.
Les jardiniers et les particuliers utilisent ces produits dans les zones rurales et urbaines de façon déraisonnée.
II/ Une pollution de l’environnement
L’eau, l’air, les sols, et donc les aliments sont pollués et provoquent des toxicités aigües et chroniques. De nombreux produits s’accumulent, et en se rencontrant, donnent naissance à des molécules complexes : de véritables bouillons de pollution !
Les équilibres naturels sont rompus et l’homme devient de plus en plus dépendant des pesticides pour écarter les problèmes dus aux déséquilibres naturels.
III/ Prévention
Afin de sortir du cercle vicieux «plus on traite et plus il faudra traiter», on sait que des méthodes ancestrales telles que la rotation des cultures, l’associativité des insectes auxiliaires (pollinisateurs, décomposeurs), mais aussi le compagnonnage de plantes avec d’autres plantes, ont fait leurs preuves. Malheureusement, il faut aider la nature à retrouver ses équilibres et il faut être patient et avoir recours à des analyses des sols trop souvent considérés comme de simples surfaces cultivables.
IV/ Le projet Myosotis
Ce projet est un concept qui prend en compte la notion de rotation et de compagnonnage. Les terres agricoles comme les jardins pourront utiliser des traitements à base de plantes par des pulvérisations ou des plantations allant de la prévention à l’élimination par éloignement des insectes indésirables, germes, pathologies…
LES BIOSTIMULANTS SEMBLENT ETRE UNE PISTE D’AVENIR INCONTOURNABLE.
Des recettes à base d’eau et de plantes pourront permettre une rotation avec 30 recettes différentes, répondant, du même coup, à la rotation, mais cela pourra aussi éviter l’accoutumance d’insectes ravageurs par exemple.
Ce projet répond aussi au principe de l’associativité avec ces bios produits qui protègent la plante, qui a pour fonction de produire .Ainsi à chaque plante productrice il existe une ou plusieurs plantes protectrices.
Ainsi avec le projet Myosotis, grâce à l’utilisation de décoctions et d’infusions, le lessivage des sols peut être une solution préventive et curative, une interface entre une agriculture pu biologique utilisant des produits bio contrôles et une agriculture intensive.
Le projet Myosotis renforce l’agriculture responsable et raisonnable. Il peut être utilisé pendant la période de pollinisation.
V/ Voir plus loin encore…
Grâce aux études réalisées sur les bios pesticides, le projet Myosotis intègre aussi la notion d’application et d’expérimentation sur les substances fabriquées par les plantes pour se défendre contre des insectes et des maladies.
Myosotis intégrera l’éco innovation PAR LES BIO STIMULANTS ou les renforçateurs végétaux.
Les bios stimulants de première génération, à savoir, ceux utilisés en décoction ou en tisane, ont permis de booster la recherche sur les bios stimulants qui auraient des effets anti fongiques et anti bactériologiques.
La première génération des bios stimulants a visiblement des fonctions de répulsifs sur les insectes… Les plantes utilisées sont les suivantes : l’aneth, le basilic, le bouleau, la bourrache, la camomille, le cerfeuil, la lavande, la menthe, l’ortie blanche, le romarin, la sarriette, le thym, la valériane, la sauge, le souci, l’ail, la ciboulette, la prêle, l’ortie…
Ludwig von Bertalanffy nous a dit : « La vie résulte au maintien des déséquilibres, de tensions …Ce qui permet à la vie, l’organisme et l’organisation d’évoluer ou en tout cas, de s’apercevoir qu’ils sont en vie ». La crise financière a occasionné des tensions économiques et sociales graves. Ces crises mettent en lumière des déséquilibres et des distorsions. C’est dans une telle ambiance que PE3D Conseils est née en 2008 afin de répondre aux besoins des entreprises en intervenant à leurs côtés pour réussir à mieux intégrer le développement durable dans les processus et d'accompagner les équipes de femmes et d'hommes aux changements. Le scientifique français Lavoisier a dit « Rien ne se perd, rien ne se crée , tout se transforme. » Ainsi ce qui pourrait être les déchets pour les uns sont des ressources pour d’autres. Il s’agit ici d’intégrer le cycle de vie des objets, des déchets jusqu’à « l’ultimisation », le déchet anobli en ressources et en énergie comme la méthanisation. Une prouesse technologique, une évidence pour d’autres. Faudra-t-il attendre encore longtemps afin que la recherche et ses applications puissent nous faire considérer l’humain non pas comme une ressource mais comme un ensemble d’être capable de déployer des énergies communes pour bâtir un monde durable. Pour ceux qui ne l’auraient pas remarqué cette révolution technologique est en marche. Elle engendrera, nous l’espérons, l’humanitude nécessaire pour entraîner tous les individus à rester unis pour faire de notre société une civilisation.
L'Institut est installé dans l'enceinte prestigieuse du Cloître de Récollets, en plein coeur de la Ville de Metz, sur le sommet de la colline Sainte-Croix. Ce Cloître franciscain, dont l'architecture est de facture méridionale, fut établi en 1230, quatre ans après la mort de Saint François d'Assise, lorsque les Frères Mineurs fondent leur Maison à Metz. Il invite à la réflexion, à la maturation des idées, à l'éclosion de pensées nouvelles, il est à l'image de la Ville de Metz, si riche dans sa diversité économique, intellectuelle, architecturale et historique. Il y a plus de 25 ans que l'on parle de défense de l'environnement et d'écologie à Metz : lors de son premier mandat municipal, le Maire de Metz, Monsieur Jean-Marie Rausch, et le Professeur Jean-Marie Pelt, qui deviendra le Président de l'Institut, inventent le concept de l'écologie urbaine. La Ville de Metz confia alors le Cloître des Récollets aux fondateurs de l'Institut européen d'Ecologie : force était pour celui-ci d'en faire un lieu pérenne d'accueil et de rencontres, et de perpétuer le même esprit, la même philosophie que ses fondateurs : respecter les humbles, protéger la nature, accueillir les hôtes. Promouvoir et développer toute initiative visant à l'amélioration de la qualité de vie, de l'environnement et des rapports entre les hommes, les groupes et la nature, tel peut être résumé l'objectif de l'Institut. Parmi ses activités, l'organisation de plusieurs types de formation, de nombreux colloques, une diffusion constante des connaissances et de l'état de la recherche, par de nombreux ouvrages, publications écrites, radiodiffusées ou télévisées... L'Institut européen d'Ecologie a pour mission de constituer un lien éthique entre science et conscience, pensée et action, recherche et vulgarisation, qui devrait et devra être l'essence même de la science. L'Institut met également à disposition des groupements d'intérêt scientifique, culturel et social, des salles de réunions, conférences ou expositions.
Administrateur
Collaborateur de Jean-Marie Pelt
Présidente
et amie de Jean-Marie PELT
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